SI PASCAL KOUPAKI PENSE QUE JE SUIS EN TRAIN DE LE DIFFAMER, MOI JE SUIS PRÊT A L'AFFRONTER QUE CE SOIT DEVANT UN TRIBUNAL OU SUR UN PLATEAU DE TÉLÉVISION ET JE LUI LAISSE LE CHOIX DU MOMENT COMME DU LIEU.
Merci à vous tous qui m'encouragez à poursuivre mes enquêtes et mes analyses dans cette nébuleuse affaire d'agrément retiré puis octroyé et toute la nébuleuse sordide qui l'entoure. A ceux qui me menacent ou m'insultent croyant ainsi m'obliger à arrêter, ils ne me connaissent pas. A ceux qui me réclament des preuves et m'accusent de vilipender le Premier Ministre qu'ils considèrent comme blanc et sans tache, je leur réponds ceci. Je ne me lance jamais dans une accusation sans disposer au préalable d'éléments solides et sérieux. D'abord à titre de preuves, j'ai déjà en ma possession les copies des deux lettres signées le même jour par monsieur Koupaki, l'une pour annuler l'agrément de BSAT, l'autre pour attribuer l'agrément au GIE fictif dont il a annexé la liste des entreprises à la lettre d'agrément. Ensuite j'ai en ma possession copie de la liste des entreprises du GIE fictif, annexée à la lettre d'agrément signée par Pascal Iréné Koupaki; et la société BSAT figure encore bel et bien sur cette liste jointe par le Premier Ministre à la lettre d'agrément. Par ailleurs, j'ai en ma possession trois (3) autres listes d'entreprises qui ont été envoyées par la suite à monsieur Tony Adjovi et complétant à chaque fois la première liste annexée par le Premier Ministre Koupaki à la lettre d'agrément qu'il a signée. J'ai également en ma possession une série de courriers adressés par le sieur Tony Adjovi à monsieur Koupaki lui-même et à d'autres responsables et qui prouvent que le sieur Tony Adjovi n'a jamais demandé un agrément au nom d'un quelconque GIE; preuve que ce GIE a été monté de toute pièce et lui a été imposé. Enfin j'ai en ma possession une série d'autres documents qui me permettent déjà d'affirmer que cette affaire scandaleuse ne peut être que l’œuvre d'une mafia agissant en bande organisée; notamment la lettre de demande d'audience adressée au Chef de l'Etat par les enfants de monsieur Tony Adjovi, lettre qui a été interceptée par madame Inès Aboh et qui selon mes enquêtes, n'est jamais parvenue au Président de la République. Mais je voudrais prendre tout le temps nécessaire et approfondir mon enquête. Soyez certains que j'en livrerai toutes les conclusions malgré ceux qui ne cessent de m'accuser ou de me menacer de ceci ou de cela. A ceux là je conseille de laisser monsieur le Premier Ministre Pascal Koupaki lui-même parler et se défendre. Et si vraiment il pense que je suis entrain de le diffamer, je suis prêt à l'affronter, que ce soit devant un tribunal ou sur un plateau de télévision. En attendant et pour moi, LA LUTTE CONTINUE.